Always by your side. [Ft. Arthur le survivant]
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Always by your side. [Ft. Arthur le survivant]
Environnement général : Monde post-apocalyptique, invasion de zombies.
Nom/Prénom : Antonio Fernandez Carriedo
Âge : 23 ans
Mental : Il est beaucoup moins naif et beaucoup plus précautionneux que le Antonio habituel.
Caractéristiques : Il a un truck rouge tout moche qu'il appelle "Ma belle" et une petite cabane dans les bois. Sinon, il a toujours la barbe mal-rasée du matin parce que c'est pas toujours facile de se raser dans un monde avec des zombies. Sinon c'est un simple humain.
Armes en sa possession : Bibiche, son fusil de chasse à pompe, Winchester model 12.
Autres : x
Nom/Prénom : Antonio Fernandez Carriedo
Âge : 23 ans
Mental : Il est beaucoup moins naif et beaucoup plus précautionneux que le Antonio habituel.
Caractéristiques : Il a un truck rouge tout moche qu'il appelle "Ma belle" et une petite cabane dans les bois. Sinon, il a toujours la barbe mal-rasée du matin parce que c'est pas toujours facile de se raser dans un monde avec des zombies. Sinon c'est un simple humain.
Armes en sa possession : Bibiche, son fusil de chasse à pompe, Winchester model 12.
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Dernière édition par Espagne / Antonio le Dim 13 Mar - 19:40, édité 1 fois
Espagne / Antonio
Re: Always by your side. [Ft. Arthur le survivant]
Environnement général : Monde post-apocalyptique, invasion de zombies.
Nom/Prénom : Arthur Kirkland
Âge : 27 ans
Mental : Plus pessimiste il perd espoir petit à petit dans ce nouveau monde, mais il a une gnaque incroyable pour survivre jusque là.
Physique : Simple humain, il a les cheveux légèrement plus long qu’habituellement, et l’air bien plus crasseux quand même, et assez maigre par le manque de nourriture.
Armes en sa possession : Un pistolet classique, deux couteaux qu’il a toujours sur lui, ainsi qu’un grand tuyau en fer, son arme de fortune du moment.
Depuis combien de temps marchait-il ? Des jours et des jours, mais depuis un moment il avait perdu la notion du temps, s’affaiblissant de plus en plus, ses pas se faisaient plus lent, plus difficile, ses jambes semblaient peser cent kilos chacune. Sa gorge lui brûlait, sa vue se troublait à son tour, les lèvres gercées, impossible de trouver de l’eau. L’homme avait épuisé sa dernière bouteille il y a déjà trois jours, aucun nuage gris ne daignaient annoncer de la pluie, pas même un lac, une rivière ou un étang n’étaient présents. La déshydratation se faisait ressentir plus fortement aujourd’hui, le soleil tapait à son plus haut. A en juger de par la chaleur, et de sa hauteur dans le ciel, il devait bien être plus de midi, une nouvelle journée qui se continue, mais qui se prépare à annoncer la dernière à cet homme.
La bouche sèche, avaler sa salive en était presque douloureux, lentement il marchait pour ne pas s’épuiser, ou transpirer le peu d’eau qu’il lui restait dans le corps, le blond marchait le long d’une route, espérant peut-être y croiser une voiture qui serait salvatrice. Mais rien ne se montrait, pas même un zombie, est-ce qu’il ne serait pas le dernier Homme sur la terre ? Ses pensées s’embrouillaient de plus en plus, l’esprit totalement asséché comme l’était son corps.
Arthur Kirkland. Voici son nom, mais personne ne sera sûrement là pour voir sa fin, voir ce garçon s’éteindre, et mourir comme tant de personnes depuis ces six dernières années. Mais il ne peut pas mourir, il ne le veut pas. Il survit depuis tant d’années, une simple déshydratation le tuerait ? Alors que ces cadavres ambulants, ne vivant que pour les dévorer n’auraient pas été capables d’achever cet homme accroché à la vie plus que tout ?
Il devait vivre, il n’avait pas le choix, de nombreuses fois le garçon a pensé à abandonner, à se laisser mourir de différentes manières, mais il en a toujours été incapable, se maintenant à la vie avec tant de fermeté, ce qui le surprend aussi, ignorant qu’il aurait été capable d’accomplir tout cela pour faire une chose aussi simple que vivre.
La chose à laquelle l’on pense en voyant cet homme marcher de la sorte, totalement seul, dans ce monde désolation, est bien sûr, comment a-t-il fait pour arriver là ?
Si nous remontons à des années en arrière, le jeune Kirkland était en voyage aux Etats-Unis pour ses études, il avait 21ans à cette époque, son premier voyage au pays de l’Uncle Sam, pour quatre mois, le temps d’apprendre de nombreuses choses.
Après une longue année d’études en école préparatoire, il parvient finalement à aller en école de journalisme, réalisant son rêve de depuis toujours. Intégrant une des plus grandes écoles du Royaume-Uni, lui offrant devant lui un grand avenir intéressant et riche.
Mais dans le monde actuel l’argent ne compte plus, il a arrêté de compter ce jour-là, ou le monde est tombé pour devenir cet enfer à peine imaginable.
L’anglais se trouvait à l’aéroport, à quelques heures du départ pour son retour chez lui, pour reprendre sa vie habituelle quand tout a basculé. L’aéroport a été fermé d’urgences, laissant la panique se diffuser dans l’immense foule, qui cherchait à fuir, car déjà infectée par certains déjà présents.
A partir de là, tout était fini, sa vie d’avant, son retour à la maison, revoir sa famille, ses projets d’avenir, une vie agréable comme il en a rêvé depuis si longtemps avec son compagnon de l’époque. Tout. Tout était fini, alors que le blond regardait pour la première fois un de ces monstres déchirer de ses dents le bras d’une pauvre femme hurlant de toutes ses forces, lui suppliant de la sauver, alors que son premier réflexe, après avoir croisé le regard de cette pauvre femme, future morte qui rôdera, de s’enfuir à toute vitesse. De survivre.
Les années passèrent, les jours tous plus difficiles les uns que les autres, rencontrant divers obstacles, qu’ils soient morts ou humains, oscillant entre différents groupes qui s’étaient formés, allant d’un abri à même le sol, ou d’un lit plus que confortable dans des maisons abandonnées. Arthur avait vécu de nombreuses choses ces dernières années.
Sa dernière « maison » et sa dernière « famille » venaient d’être décimées, alors qu’ils vivaient dans un petit abri de fortune mais bien établi, avec des barrières pour les protéger, ce groupe d’une dizaine de personnes. Mais rien n’est à garder comme acquis dans ce nouveau monde, un soir alors que tout le monde dormait, la barrière qui servait de porte a été mal refermée, et des zombies ont réussi à s’introduire dans l’endroit, dévorant toutes les personnes. Certains, dont Arthur, on réussit à s’enfuir, sans réussir à se retrouver depuis ce jour.
Depuis combien de temps déjà ? Au moins deux bonnes semaines, voire sûrement plus. Si ses amis n’étaient pas morts, il ne les retrouverait sûrement plus jamais.
Les pensées de l’anglais étaient dirigées vers ses amis de son ancien groupe, alors que ses pieds l’emmenaient il ne sait où, tentant de survivre encore quelques heures, avant d’avoir l’impression d’apercevoir à plus de deux cents mètres une maison reculée, sur le bord de route. La déshydratation devait le rendre fou, et le faire imaginer toutes sortes de choses… Mais plus il avançait plus la maison se dessinait distinctement, il ne rêvait pas, l’anglais n’aurait plus à dormir qu’à moitié, à même le sol sous un arbre, peut-être même qu’il y trouverait des vivres ? Et surtout, de l’eau…
Pressant le pas, il arriva au niveau de la maison, la porte fermée, ne perdant pas ses instincts de survie, et de défense, il tapa contre la porte à plusieurs reprises. De sorte que si des zombies étaient à l’intérieur, ils seront attirés par le bruit, et viendront se jeter contre la porte. Mais rien de tout ça, tout en se méfiant il ouvrit la porte pour entrer et faire le tour de la maisonnette.
Elle semblait abandonnée depuis un moment, mais personne n’était encore passé par là, il s’empressa d’ouvrir les placards qui étaient encore pleins de vivres, pour finalement trouver des bouteilles d’eau dans le frigo, éteint depuis longtemps. Sans même perdre de temps Arthur s’empressa de boire le plus possible d’eau que son corps pouvait en contenir à ce moment présent.
Il passa le reste de sa soirée à boire de l’eau, manger, il revivait après avoir frôlé de si près la mort. Prenant garde à bien fermer à clef la porte de devant, le blond s’effondra dans le canapé, qui serait le meilleur lit qu’il a pu avoir ces dernières semaines. Totalement épuisé il ne lui fallut pas grand temps pour se laisser aller dans les bras de Morphée et récupérer toute la fatigue accumulée.
La nuit avait semblé ne durer que quelques secondes tant l’anglais était fatigué, mais la lumière du jour qui perçait à travers les fenêtres le réveilla aussitôt. Il avait survécu à une nouvelle journée, et celle-ci aussi il y survivra. Mais avant de commencer la journée, et explorer les alentours pour peut-être y trouver quelque chose de possible à ramener, le garçon prit un bon petit déjeuner. Ses armes étaient restées dans le salon, là où il avait dormi, mais ne se souciant de rien, il profitait de la nourriture qu’il avalait avec appétit après ces longues journées de famine.
Mais une main lourde et froide le fit sortir de sa rêverie, cette main l’agrippait de toutes ses forces, l’anglais poussa un cri de surprise, en tombant à la renverse au sol, le zombie entraîné tomba avec lui, essayant coûte que coûte de le mordre pour se nourrir de lui.
De toute ses forces l’anglais tenta de le repousser, de le dégager pour pouvoir ainsi se précipiter dans le salon et attraper son tuyau en fer pour lui transpercer la tête, mais incapable de le renverser, il se débattait comme un monstre. Un bruit sourd le surpris, lui, ainsi que le zombie sur lui, qui tourna la tête vers le bruit, l’anglais pensa aussitôt à un autre, mais des coups contre le mur lui indiquèrent qu’il s’agissait probablement d’un humain.
« -Qui que tu sois, accroche-toi, j'arrive! »
Quelqu’un était là pour lui sauver la vie… Le blond d’un coup de pied se débarrassa du zombie qui se redressa aussitôt pour se diriger vers le bruit terrible que l’homme faisait.
Arthur se précipita dans le salon pour y empoigner son tuyau et rejoindre le zombie qui sortait tout juste la tête du couloir se pointant devant l’inconnu. Mais d’un coup sec et rapide, un long tuyau en fer traversa la tête du zombie, qui se figea net, avant de tomber au sol tête la première, en entraînant avec lui l’arme de fortune.
Le blond enjamba le zombie pour récupérer son tuyau, et relever la tête pour voir qui était l’homme.
Un jeune homme brun, cheveux courts, à peu près le même âge que lui, peut-être quelques années de moins, ne semblait pas être un ennemi, malgré qu’il soit venu le sauver, on ne sait jamais. Lui adressant un petit sourire, il s’avança de quelques pas de lui.
« -Merci. Je te dois la vie. Comment as-tu fais pour arriver ici, et me trouver ? »
Trouver cette maison lui avait pris tant de temps, comment lui avait-il fait pour la trouver ? Peut-être la connaissait-il déjà ? Ou alors il possédait une voiture, ce qui était bien plus probable, et bien plus chanceux pour l’anglais puisque cela lui donnait une nouvelle chance de s’en sortir in extremis, comme à chaque fois.
« -Ah sinon, moi c’est Arthur Kirkland. Et coincé dans le même monde que toi faut croire… »
Il émit un petit rire, mais un rire franc, alors que la peur et le stress retombait doucement.
Nom/Prénom : Arthur Kirkland
Âge : 27 ans
Mental : Plus pessimiste il perd espoir petit à petit dans ce nouveau monde, mais il a une gnaque incroyable pour survivre jusque là.
Physique : Simple humain, il a les cheveux légèrement plus long qu’habituellement, et l’air bien plus crasseux quand même, et assez maigre par le manque de nourriture.
Armes en sa possession : Un pistolet classique, deux couteaux qu’il a toujours sur lui, ainsi qu’un grand tuyau en fer, son arme de fortune du moment.
Depuis combien de temps marchait-il ? Des jours et des jours, mais depuis un moment il avait perdu la notion du temps, s’affaiblissant de plus en plus, ses pas se faisaient plus lent, plus difficile, ses jambes semblaient peser cent kilos chacune. Sa gorge lui brûlait, sa vue se troublait à son tour, les lèvres gercées, impossible de trouver de l’eau. L’homme avait épuisé sa dernière bouteille il y a déjà trois jours, aucun nuage gris ne daignaient annoncer de la pluie, pas même un lac, une rivière ou un étang n’étaient présents. La déshydratation se faisait ressentir plus fortement aujourd’hui, le soleil tapait à son plus haut. A en juger de par la chaleur, et de sa hauteur dans le ciel, il devait bien être plus de midi, une nouvelle journée qui se continue, mais qui se prépare à annoncer la dernière à cet homme.
La bouche sèche, avaler sa salive en était presque douloureux, lentement il marchait pour ne pas s’épuiser, ou transpirer le peu d’eau qu’il lui restait dans le corps, le blond marchait le long d’une route, espérant peut-être y croiser une voiture qui serait salvatrice. Mais rien ne se montrait, pas même un zombie, est-ce qu’il ne serait pas le dernier Homme sur la terre ? Ses pensées s’embrouillaient de plus en plus, l’esprit totalement asséché comme l’était son corps.
Arthur Kirkland. Voici son nom, mais personne ne sera sûrement là pour voir sa fin, voir ce garçon s’éteindre, et mourir comme tant de personnes depuis ces six dernières années. Mais il ne peut pas mourir, il ne le veut pas. Il survit depuis tant d’années, une simple déshydratation le tuerait ? Alors que ces cadavres ambulants, ne vivant que pour les dévorer n’auraient pas été capables d’achever cet homme accroché à la vie plus que tout ?
Il devait vivre, il n’avait pas le choix, de nombreuses fois le garçon a pensé à abandonner, à se laisser mourir de différentes manières, mais il en a toujours été incapable, se maintenant à la vie avec tant de fermeté, ce qui le surprend aussi, ignorant qu’il aurait été capable d’accomplir tout cela pour faire une chose aussi simple que vivre.
La chose à laquelle l’on pense en voyant cet homme marcher de la sorte, totalement seul, dans ce monde désolation, est bien sûr, comment a-t-il fait pour arriver là ?
Si nous remontons à des années en arrière, le jeune Kirkland était en voyage aux Etats-Unis pour ses études, il avait 21ans à cette époque, son premier voyage au pays de l’Uncle Sam, pour quatre mois, le temps d’apprendre de nombreuses choses.
Après une longue année d’études en école préparatoire, il parvient finalement à aller en école de journalisme, réalisant son rêve de depuis toujours. Intégrant une des plus grandes écoles du Royaume-Uni, lui offrant devant lui un grand avenir intéressant et riche.
Mais dans le monde actuel l’argent ne compte plus, il a arrêté de compter ce jour-là, ou le monde est tombé pour devenir cet enfer à peine imaginable.
L’anglais se trouvait à l’aéroport, à quelques heures du départ pour son retour chez lui, pour reprendre sa vie habituelle quand tout a basculé. L’aéroport a été fermé d’urgences, laissant la panique se diffuser dans l’immense foule, qui cherchait à fuir, car déjà infectée par certains déjà présents.
A partir de là, tout était fini, sa vie d’avant, son retour à la maison, revoir sa famille, ses projets d’avenir, une vie agréable comme il en a rêvé depuis si longtemps avec son compagnon de l’époque. Tout. Tout était fini, alors que le blond regardait pour la première fois un de ces monstres déchirer de ses dents le bras d’une pauvre femme hurlant de toutes ses forces, lui suppliant de la sauver, alors que son premier réflexe, après avoir croisé le regard de cette pauvre femme, future morte qui rôdera, de s’enfuir à toute vitesse. De survivre.
Les années passèrent, les jours tous plus difficiles les uns que les autres, rencontrant divers obstacles, qu’ils soient morts ou humains, oscillant entre différents groupes qui s’étaient formés, allant d’un abri à même le sol, ou d’un lit plus que confortable dans des maisons abandonnées. Arthur avait vécu de nombreuses choses ces dernières années.
Sa dernière « maison » et sa dernière « famille » venaient d’être décimées, alors qu’ils vivaient dans un petit abri de fortune mais bien établi, avec des barrières pour les protéger, ce groupe d’une dizaine de personnes. Mais rien n’est à garder comme acquis dans ce nouveau monde, un soir alors que tout le monde dormait, la barrière qui servait de porte a été mal refermée, et des zombies ont réussi à s’introduire dans l’endroit, dévorant toutes les personnes. Certains, dont Arthur, on réussit à s’enfuir, sans réussir à se retrouver depuis ce jour.
Depuis combien de temps déjà ? Au moins deux bonnes semaines, voire sûrement plus. Si ses amis n’étaient pas morts, il ne les retrouverait sûrement plus jamais.
Les pensées de l’anglais étaient dirigées vers ses amis de son ancien groupe, alors que ses pieds l’emmenaient il ne sait où, tentant de survivre encore quelques heures, avant d’avoir l’impression d’apercevoir à plus de deux cents mètres une maison reculée, sur le bord de route. La déshydratation devait le rendre fou, et le faire imaginer toutes sortes de choses… Mais plus il avançait plus la maison se dessinait distinctement, il ne rêvait pas, l’anglais n’aurait plus à dormir qu’à moitié, à même le sol sous un arbre, peut-être même qu’il y trouverait des vivres ? Et surtout, de l’eau…
Pressant le pas, il arriva au niveau de la maison, la porte fermée, ne perdant pas ses instincts de survie, et de défense, il tapa contre la porte à plusieurs reprises. De sorte que si des zombies étaient à l’intérieur, ils seront attirés par le bruit, et viendront se jeter contre la porte. Mais rien de tout ça, tout en se méfiant il ouvrit la porte pour entrer et faire le tour de la maisonnette.
Elle semblait abandonnée depuis un moment, mais personne n’était encore passé par là, il s’empressa d’ouvrir les placards qui étaient encore pleins de vivres, pour finalement trouver des bouteilles d’eau dans le frigo, éteint depuis longtemps. Sans même perdre de temps Arthur s’empressa de boire le plus possible d’eau que son corps pouvait en contenir à ce moment présent.
Il passa le reste de sa soirée à boire de l’eau, manger, il revivait après avoir frôlé de si près la mort. Prenant garde à bien fermer à clef la porte de devant, le blond s’effondra dans le canapé, qui serait le meilleur lit qu’il a pu avoir ces dernières semaines. Totalement épuisé il ne lui fallut pas grand temps pour se laisser aller dans les bras de Morphée et récupérer toute la fatigue accumulée.
La nuit avait semblé ne durer que quelques secondes tant l’anglais était fatigué, mais la lumière du jour qui perçait à travers les fenêtres le réveilla aussitôt. Il avait survécu à une nouvelle journée, et celle-ci aussi il y survivra. Mais avant de commencer la journée, et explorer les alentours pour peut-être y trouver quelque chose de possible à ramener, le garçon prit un bon petit déjeuner. Ses armes étaient restées dans le salon, là où il avait dormi, mais ne se souciant de rien, il profitait de la nourriture qu’il avalait avec appétit après ces longues journées de famine.
Mais une main lourde et froide le fit sortir de sa rêverie, cette main l’agrippait de toutes ses forces, l’anglais poussa un cri de surprise, en tombant à la renverse au sol, le zombie entraîné tomba avec lui, essayant coûte que coûte de le mordre pour se nourrir de lui.
De toute ses forces l’anglais tenta de le repousser, de le dégager pour pouvoir ainsi se précipiter dans le salon et attraper son tuyau en fer pour lui transpercer la tête, mais incapable de le renverser, il se débattait comme un monstre. Un bruit sourd le surpris, lui, ainsi que le zombie sur lui, qui tourna la tête vers le bruit, l’anglais pensa aussitôt à un autre, mais des coups contre le mur lui indiquèrent qu’il s’agissait probablement d’un humain.
« -Qui que tu sois, accroche-toi, j'arrive! »
Quelqu’un était là pour lui sauver la vie… Le blond d’un coup de pied se débarrassa du zombie qui se redressa aussitôt pour se diriger vers le bruit terrible que l’homme faisait.
Arthur se précipita dans le salon pour y empoigner son tuyau et rejoindre le zombie qui sortait tout juste la tête du couloir se pointant devant l’inconnu. Mais d’un coup sec et rapide, un long tuyau en fer traversa la tête du zombie, qui se figea net, avant de tomber au sol tête la première, en entraînant avec lui l’arme de fortune.
Le blond enjamba le zombie pour récupérer son tuyau, et relever la tête pour voir qui était l’homme.
Un jeune homme brun, cheveux courts, à peu près le même âge que lui, peut-être quelques années de moins, ne semblait pas être un ennemi, malgré qu’il soit venu le sauver, on ne sait jamais. Lui adressant un petit sourire, il s’avança de quelques pas de lui.
« -Merci. Je te dois la vie. Comment as-tu fais pour arriver ici, et me trouver ? »
Trouver cette maison lui avait pris tant de temps, comment lui avait-il fait pour la trouver ? Peut-être la connaissait-il déjà ? Ou alors il possédait une voiture, ce qui était bien plus probable, et bien plus chanceux pour l’anglais puisque cela lui donnait une nouvelle chance de s’en sortir in extremis, comme à chaque fois.
« -Ah sinon, moi c’est Arthur Kirkland. Et coincé dans le même monde que toi faut croire… »
Il émit un petit rire, mais un rire franc, alors que la peur et le stress retombait doucement.
Dernière édition par Angleterre / Arthur le Mer 22 Juin - 9:41, édité 2 fois
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