mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
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mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
DOSSIER MEDICAL
• Nation représentée : Royaume du Danemark • Nom et prénom : Køhler Mathias • Âge : 26 ans (il ne fait pas si jeune que ça, malgré ce que peut faire croire son caractère) • Date d'anniversaire : 5 juin • Sexe : ♂ • Poids : 74kg • Taille : 1m83 | INFOS |
RENSEIGNEMENTS
• Vous projetez vous mieux dans des mondes imaginaires ou dans le passé ? :
Mathias, ce qui l'intéresse, lui, c'est le passé. Pourquoi finir en amoureux transi d'un futur qu'on ne connaît pas alors que le passé recèle de tant de choses que nous ne connaissons pas et qui mériteraient de l'être ? Mais, mais ... Son imaginaire, de lorsqu'il était enfant, revient de temps à autre ; le fantastique aura toujours une place importante.
• Avez vous une peur particulière ? :
Pour une personne comme Mathias, qui a toujours été entouré de personnes - qu'elles lui soit ou non amicales n'a pas vraiment d'importance - sa plus grande peur est évidemment de se retrouver ... seul. Seul, sans personne autour de lui pour le voir, l'admirer. Sans personne pour lui faire la moindre remarque. La solitude l'effraie plus que tout ; et il ferait n'importe quoi, n'importe quoi, pour ne pas l'être.
• Avez vous un objet fétiche ? :
Les objets fétiches, c'est pas vraiment son truc. Enfin. Il y a peut-être deux trois qu'il aime (lui qui n'est pas matérialiste) par sentimentalisme. Mais, car des mais il y en a toujours, il y a cette écharpe. Ce n'est pas n'importe laquelle. Ce n'est pas quelqu'un de particulier qui lui a offert, juste une passante. C'était il y a longtemps, quand il pouvait encore se permettre de se promener dans son pays comme il l'entendait, sans que personne ne trouve à y redire. Cette écharpe de laine s'était retrouvée enroulée autour de son cou avec douceur et lenteur, et une main rêche avait effleuré sa nuque. Et lorsqu'il pencha la tête, il se retrouva nez-à-nez avec une petite vieille, pas bien haute, qui le regardait dans les yeux avec un petit sourire ; la figure même de la bienveillance. Mathias se remémore de ça comme un souvenir particulier, quelque chose à ne pas oublier. Parfois il la porte, comme ça, en souvenir. Ah oui, j'oubliais. Elle est rouge.
Il a aussi une vieille breloque, un peu en mauvais état, représentant vaguement une couronne, petite et qu'il fourre le plus souvent dans sa poche de pantalon. Ou qu'il accroche quelque part d'autre.
Il a aussi une vieille breloque, un peu en mauvais état, représentant vaguement une couronne, petite et qu'il fourre le plus souvent dans sa poche de pantalon. Ou qu'il accroche quelque part d'autre.
• Que faites vous principalement durant votre temps libre ? :
Il y a beaucoup de clichés ; il aime lire, tout particulièrement sur le folklore, mais ne crache pas sur le reste. Tout ce qui touche de près comme de loin à la sculpture, peut importe le matériau. Les travaux manuels le bottent bien aussi. On est pas loin du bricoleur du dimanche (mais pas trop quand même). Le sport, même si ce n'est pas quelque chose qui l'intéresse naturellement. C'est juste histoire de es tenir en forme. Et parler avec d'autres, au grand désespoir d'autres paires d'oreilles.
• Avez vous des talents artistiques, sportifs ou techniques ? :
Il est peut-être pas trop mauvais du côté artistique, avec sa sensibilité ... nordique. Autrement, il ne se démarque pas particulièrement des autres. On dira aussi qu'il n'est peut-être pas trop mauvais en endurance.
• Qu'est-ce que vous appréciez particulièrement ? :
Parler, raconter, conter, dire des choses. La communication quoi. Se croire (le mot est fort, il n'y croit pas bien évidemment ; il fait semblant) maître de sa patrie. Mais l'histoire lui a récemment montré que son côté entreprenant n'était plus apprécié. Apprendre des choses, qu'elles soient formelles comme l'inverse, intimes ou non. Connaître son entourage en somme, savoir où il met les pieds. Il n'est pas intuitif, il déduit. La bonne nourriture, tant qu'on boit bien et beaucoup. Et le défoulement sur autrui, qu'il ne pratique malheureusement plus depuis quelques centaines d'années maintenant. Lui, violent ? Non. Juste amical.
• Qu'est-ce qui au contraire peut vous rebuter ? :
Quand on dit à Mathias que son écharpe ne correspond pas du tout à son habit du jour ; ça le fout en rogne, vraiment. Qu'on vient lui chercher des noises sans raison (ce qui arrive à peu près très souvent). Les traitements de faveur ; chez lui, tout le monde est sur un même pied d'égalité. L'hypocrisie, car on gagne tout à être franc.
Mathias, c’est un peu le cliché de l’armoire à glace. Celui du gars au physique baraqué, à la cervelle de moineau (voire même parfois moins). Ça peut de temps à autre lui porter préjudice. Mais sans plus. Ce n’est pas non plus comme s’il cherchait forcément à le démentir. Fort, il l’est. Pourquoi s’en cacher alors que c’est l’évidence même ? Mais si l'on devait s'attarder sur son corps, alors on dirait que monsieur ne fait pas chétif, loin de là. La carrure qu'il s'est forgé au fil du temps le rend imposant, sans pour autant que cela soit volontaire. En bref, il ne lui manque plus que la capuche sur la tête, les mains bien enfoncées jusqu'aux coudes dans les poches et le regard à mi-hauteur, entre le sol et l'horizon. Là, vous aurez le parfait exemple de bad guys qui peut traîner un peu partout, dans n'importe qu'elle ville. Mais ça, c'est quand on ne fait que jeter sur lui un coup d’œil. Lorsqu'on le regarde vraiment, on se rend bien compte que Mathias, bah, il n'est pas comme ça. Déjà, ses cheveux blond vénitiens tranchent beaucoup. Alliant différentes teintes pour obtenir ce résultat agréable à la vue, c'est aussi de part son origine que Mathias à cette couleur. Au final, ils sont un peu tous comme ça, les nordiques ; sauf que chaque à sa propre variante capillaire. Pour ce qui est du visage, l'élément le plus important est bien entendu ses yeux. Mais on y reviendra un peu plus bas. Son front est haut, relevé par ses cheveux, qui sont pour la plupart tirés en arrière. Quelques mèches, de temps à autre, se baladent sur son front, privilégiant le côté droit ; aussi parce que c'est là que retombe sa mèche la plus importante. Le reste est uni dans un mélange de sauvage et de droit, laissant quelques épis ça et là se battre en duel, le tout n'allant pas plus loin que le bas de sa nuque. Au demeurant, un nez droit, légèrement relevé sur la fin. Plus une bouche longue, le plus souvent illustrée par un sourire grand et large. Et c'est justement à ce moment-là qu'on remarque le mieux ses yeux, pupilles bleues éclatantes. Elles sont animées, bougent de partout, fixent tour à tour tout ce qu'elles peuvent afin de capter le maximum d'informations. En ça, elles ressemblent un peu à celles des chats. Elles sont assez brillantes, signe de vitalité ; mais ces derniers temps, cela à tendance à diminuer. Pour le reste du corps, on ne va pas s'épancher longtemps pour parler de la longueur de ses bras ou de ses jambes. On dira simplement que Mathias est plutôt pas mal sous ses airs de grosse brute sans cervelle, et que la largueur de ses épaules lui a parfois évité quelques petits désagréments. Le poids est proportionnel à la taille, ce qui fait de lui quelqu'un de bien bâti. Sa stature est droite et longue ; son profil, plutôt filiforme si l'on oublie un peu sa musculature héritée des siècles passés. Niveau vêtements, c'est ce que l'on voit d'habitude, sauf que son long manteau noir ne le quitte pas, voire jamais. Les couleurs qu'il arbore sont assez ternes ou pâles parce que inconsciemment, il doit se dire qu'il n'a pas besoin de ça pour être remarqué. Vraiment. | Si l’on devait le comparer à quelque chose, alors Mathias aurait pris un tronc. Ou les bois du cerf, au choix. Pour lui, c’est l’exemple parfait de ce qu’il est. À nuancer cependant ; il ne faut pas oublier de rajouter quelques petites fausses notes par-ci par-là, histoire de faire plus crédible. La perfection n’existe pas, même si lui en était convaincu jusqu’à il n’y a pas si longtemps. Son arrivée à l’Institut lui a très certainement ouvert les yeux sur les choses qu’il faisait semblant de ne pas voir ou qu’il désignait, en les pointant du doigt, comme des mauvais rêves. Beaucoup de traits de caractère pourraient convenir à la nation, alors on ne parlera que des plus importants, de ceux qui se voient le mieux. Le premier, et par conséquent le plus probant chez lui, serait, à coup sûr, cette espèce d’assurance qu’il traîne avec lui partout où il va, sans se poser de questions. Assurance envers quoi, on ne sait pas trop, mais c’est une chose qu’il assume, on dira, très bien. Il s’en sert comme il en joue par rapport aux autres, notamment ceux qu’il proclame avoir mis sous sa coupe. Mais c’est aussi cette assurance qui a fait qu’il est autant entouré que ça : peut-être cette assurance justement rassure. Cependant, il n’y a pas que ça ; ça serait trop beau. Derrière cette assurance se cache un sentiment que Mathias ne s’est jamais véritablement avoué : l’envie. Il envie les puissantes nations, de leur pouvoir, de leur influence un peu partout dans le monde. Lui qui, de longues années durant, domina une partie de l’Europe en des temps reculés, voir désormais tout ce beau monde « courir » derrière d’autres … La pilule a du mal à passer, sincèrement. Et ce n’est certainement pas cette « remise à niveau » de la part des différents gouvernements du monde entier qui va aider. En termes d’audace et de franchise, Mathias est pas mal situé. Il fonce, sans s’occuper de ce qui pourrait bien advenir du reste. De plus, s’il déteste l’hypocrisie, c’est parce qu’il l’a pratiqué il y a de ça longtemps et que la chose s’est retournée contre lui ; du coup, ça a refroidi ses ardeurs et l’a fait réfléchir au bien-fondé d’être honnête avec soi-même et franc envers les autres (même si sur le premier point, il a encore du chemin à parcourir …). Il n’en reste pas moins un homme autoritaire et qui sait se faire entendre lorsque le besoin s’en fait ressentir … Sous ses petits airs d’agneau effarouché se cache un Mathias sérieux et strict, et autoritaire à vau-l’eau. Il aime que les choses aillent dans son sens. Même si le renvoi a, de beaucoup, ébranlé cette autorité qu’il pensait pourtant acquise depuis des lustres. Mais ça, il ne le montre pas. Pas même à lui-même en fait. Alors le montrer aux autres … C’est se fourrer le doigt dans l’œil, jusqu’au coude même. Ce n’est pas quelque chose qui risque d’arriver de sitôt. Gaffeur à ses heures perdues (parce que quand on se fait chier, il n’y pas de meilleur moyen de distraction), il n’hésite pas de trop à aller chercher les conneries à faire, voire même à aller au-devant d’elles, histoire de bien se marrer. Il a ce côté très insouciant qui ressort de temps à autre, pour dire qu’il n’est pas toujours cet espèce de vieux con, trop sérieux pour ne serait-ce qu’esquisser un sourire (heureusement pour lui, ça n’est pas le cas tout le temps). Ce qui fait de lui un personnage sociable, qui aime autant parler que se faire raconter des trucs. On ne va pas dire qu’il s’agit d’une passion, parce que c’est pas le cas. C’est juste qu’il est quelqu’un d’intimement bavard. Et qui n’aura pas peur de s’adresser à d’autres faisant la tronche ou cherchant à le rabrouer sans ménagement ; ça, c’est parce qu’il ignore volontairement les conflits. Les moments un peu tendus, il fait comme s’ils n’existent pas (en soi … c’est une certaine forme d’hypocrisie de sa part, mais chut). Comme ça, sa bonne humeur ne peut que ressortir. Et même si on cherche à lui mettre ça sous le nez, il se bornera à ne rien voir. Opiniâtre, lui ? Que nenni. C’est juste qu’il est particulièrement têtu et que ce n’est pas un trait de caractère que l’on apprécie beaucoup chez lui, à tel point que ça lui a valu de nombreuses fois des gueulantes mémorables. Mathias est aussi quelqu’un de sanguin, d’impulsif (mais pas trop) et d’énergique. Non, il ne court pas partout comme un dératé. Mais … Non, plus sérieusement, c’est juste qu’il est énergique comme garçon. |
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“ Pour que demeure le secret, nous tairons jusqu'au silence. ”
Histoire
Peut-être avait-il été un peu trop entreprenant, ces derniers temps. Peut-être avait-il trop posé de questions lorsqu'il ne fallait pas. Peut-être en avait-on tout simplement marre de lui. Peut-être sa curiosité était-elle allée trop loin cette fois-ci. Des peut-être, il en avait beaucoup en réserve. Des comme ça, il avait arrêté de les compter, parce qu'il s'était rendu compte que ça ne servait à rien. Pourtant, tout cela ne s'était pas passé rapidement ; au contraire même. Ça s'était fait avec lenteur, presque avec douceur. Rien n'avait été pressé, ni même précipité. Mathias s'était retrouvé dans le bureau du premier ministre de sa propre initiative, une enveloppe dans la main droite, une lettre dans la gauche, essoufflé mais le regard brillant d'incompréhension. Ce dernier l'avait accueilli avec chaleur, comme il le faisait à chaque fois lorsque la nation débarquait comme ça dans son bureau, un peu en mode bulldozer il l'avouait. Mais son sourire ne montait pas jusque ses yeux, qui étaient un peu ternes. Et à cela, il comprit que ce qu'il tenait dans ses mains, ce courrier tellement inattendu, était tout sauf une blague de très mauvais goût. L'ordre venait de hauteurs que même lui, en tant que représentant d'un pays, ne pouvait gravir sans finir blesser. Au départ, il n'avait pas tout compris. Comme un peu tout le monde j'imagine. Du moins, c'était ce qu'il pensait. Car au fond de lui, il sentait que l'affaire était bien plus grave que ça, que cette simple lettre de renvoi ou démission, peu importait le nom qu'on lui donnait. Il n'était plus désiré, et c'était ça qui comptait, au fond. Peut-être n'avait-il pas fait les choses comme il fallait les faire. Mais dans ce cas, personne ne lui avait dit qu'il allait dans la mauvaise direction. Peut-être s'était-il trop avancé sur certaines décisions, n'avait pas fait assez attention. Mais là aussi, personne ne lui avait rien dit. Ces moments de doutes, il les vécut comme ses premiers. Les premiers qu'il ressentait aussi clairement, aussi violemment. Pendant un temps, la grande nation qu'il était, qu'il représentait (qu'il avait ...) s'était brutalement retrouvée les pieds sur terre, redescendue d'un piédestal qu'elle s'était elle-même montée.
Arrivé à l'Institut, Mathias avait regardé cet étrange bâtiment d'un œil un peu plus aguerri que celui de cette dernière semaine. Et puis on lui avait donné une chambre, ridicule au passage ; comme s'il n'était rien. C'était l'impression qu'il avait eu ; et peut-être ne s'était-elle pas avérée fausse ... Puis les médicaments étaient arrivés, et Mathias avait commencé à se poser de sérieuses questions. Des nations trop entreprenantes, passaient encore, mais des nations défaillantes ... Rien que le terme lui écorchait la gorge. Cependant, il n'avait pas vraiment eu le loisir de se plaindre et avait pris ses médocs comme tout le monde. Et du monde, il y en avait ! S'il s'était attendu à retrouver dans cet institut des vieilles connaissances ... Puis les médocs avaient commencé à faire effet. Et les rumeurs allant bon train entre pensionnaires avaient réveillé sa conscience, doucement endormie. Des mots étaient chuchotés lorsque le personnel n'était pas là. Des mots qui lentement avaient fait frémir Mathias. Des mots qui l'avait fait réagir. Des mots qui l'avait fait faire un scandale, hurler un bon coup, expirant enfin ce coup que son égo avait pris durement. Des mots qui lui avait fait prendre conscience que ce qu'il vivait désormais était sa réalité.
Arrivé à l'Institut, Mathias avait regardé cet étrange bâtiment d'un œil un peu plus aguerri que celui de cette dernière semaine. Et puis on lui avait donné une chambre, ridicule au passage ; comme s'il n'était rien. C'était l'impression qu'il avait eu ; et peut-être ne s'était-elle pas avérée fausse ... Puis les médicaments étaient arrivés, et Mathias avait commencé à se poser de sérieuses questions. Des nations trop entreprenantes, passaient encore, mais des nations défaillantes ... Rien que le terme lui écorchait la gorge. Cependant, il n'avait pas vraiment eu le loisir de se plaindre et avait pris ses médocs comme tout le monde. Et du monde, il y en avait ! S'il s'était attendu à retrouver dans cet institut des vieilles connaissances ... Puis les médocs avaient commencé à faire effet. Et les rumeurs allant bon train entre pensionnaires avaient réveillé sa conscience, doucement endormie. Des mots étaient chuchotés lorsque le personnel n'était pas là. Des mots qui lentement avaient fait frémir Mathias. Des mots qui l'avait fait réagir. Des mots qui l'avait fait faire un scandale, hurler un bon coup, expirant enfin ce coup que son égo avait pris durement. Des mots qui lui avait fait prendre conscience que ce qu'il vivait désormais était sa réalité.
“ Ne crains rien et parle ! Et désormais fais ce que t'inspire ton cœur valeureux. ”
Dernière édition par Danemark/ Mathias le Lun 7 Mar - 0:15, édité 13 fois
Danemark/ Mathias
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Bienvenue sur le forum ! ♥
Très contente de te compter parmi nous, et bon courage pour la suite ! **
Très contente de te compter parmi nous, et bon courage pour la suite ! **
Angleterre / Arthur
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Bon courage pour ta fiche, on a hâte de te voir à l'oeuvre !!
Prusse / Gilbert
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Content de te voir parmi nous, bienvenue ici o/
Hongrie / Erzsébet
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Comment ça je suis attendue ? /se prend trois portes
Merci encore. ♥
édit ; j'ai une question, rapide : les pays avaient bien des relations entre eux avant l'institut ? Je veux dire, pas de relations amoureuses, mais amicales, suivant les frontières communes de chacun.
Danemark/ Mathias
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Oui ! Étant donnée que ce sont des Nations, en plusieurs centaines (voire milliers) d'années, elles ont eu le temps de se rencontrer, se faire faire la guerre ou des bisous, tout dépend du contexte !
Beaucoup vont être prédéfinis par l'Histoire et la Politique (exemple : La mésentente cordiale entre la France et l'Angleterre, ou les fraternités comme celles de USA et Canada, Prusse et Allemagne, le clan du Royaume-Uni+Irlande)
Pour le reste il ne tient qu'aux joueurs d'en faire leur interprétation !
Pour Danemark entre autres, il a évidemment beaucoup de liens avec les autres pays nordiques/scandinaves, il est aussi lié à Angleterre et Prusse (du fait que ce furent les premières puissances Protestantes), et comme tu le dis selon les frontières, mais nécessairement.
Le mieux est de faire quelques rapides recherches là-dessus, pour voir quelles sont les relations, historiques et contemporaines, qu'entretient le Danemark avec le reste du monde. Cependant, pour ta fiche, je pense que tu peux te contenter des pays voisins et de voir le reste lorsque tu feras ta fiche de Relation !
J'espère t'avoir éclairé, si tu as d'autres questions n'hésites pas!
Prusse / Gilbert
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !
Italie du Sud/Lovino
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
D'accord, c'était pour confirmer. Me semble que j'avais une idée derrière la tête, mais c'était hier soir, donc j'ai oublié. x)
Merci.
Danemark/ Mathias
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Bienvenue !
(Mais attend, ton avatar c'est Prusse..? /shot/)
(Mais attend, ton avatar c'est Prusse..? /shot/)
France / Francis
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Geez, c'est vrai ! oô
Je changerai en rentrant.
Danemark/ Mathias
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Voilàààà, l'affaire est faite.
j'ai l'impression que je me suis un peu éloignée de l'idée de départ
J'espère que rien ne sera à changer et que Mat vous plaira.
Danemark/ Mathias
Re: mathias. “ wake me up when autunm comes ” (fini)
Nous te souhaitons la bienvenue parmi nous !
Ta fiche est validée, tu intégreras le groupe Aster, et tu iras donc dans l’aile n° 4, chambre n°7.
Ton nombre de crédits s’élève à présent à 20 (la promotion s'arrêtait à minuit, mais on fait un petit écart !)
Ta jauge de conscience est de 75%
Tu dispose donc également de 2 Univers Alternatifs et 7 Périodes Historiques à choisir parmi ceux disponibles.
Tu peux dès à présent errer dans l’institut, commencer à rp et passer en chatbox. Mais tu peux aussi commencer ton Journal de Bord, ainsi que rédiger ta Fiche de Relations.
Bon jeu parmi nous et amuse toi bien à Hetalia : Beyond Insanity.
Staff
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