"La perle d'Asie du Sud-Est" - Les Philippines : présentation
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"La perle d'Asie du Sud-Est" - Les Philippines : présentation
DOSSIER MEDICAL
• Nation représentée : Les Philippines • Nom et prénom : LÁÑEZ Mabel, Maria, Leilani • Âge : (Age apparent) 25 ans (parce que c'est connu les Asiatiques ne font pas leur âge. That's racist.) • Date d'anniversaire : 12 Juin • Sexe : Féminin • Poids : 54 kilos • Taille : 1m60 | INFOS |
RENSEIGNEMENTS
• Vous projetez vous mieux dans des mondes imaginaires ou dans le passé ? :
Dans le passé qui lui est encore très cher. • Avez vous une peur particulière ? :
L'angoisse du vide intérieur et l'angoisse de l'abandon qui peuvent se rejoindre et qui constituent les deux peurs principales de la Philippine et se traduisent alors par un certain nombre de comportements, d'habitudes pouvant s'apparenter à des tocs comme : fuir les pièces vides de vie, ne pas supporter la sensation de "vide" dans son dos, toujours rechercher une source de bruit.
• Avez vous un objet fétiche ? :
Son chapelet en améthyste qu'elle ne quitte que pour dormir. C'est un présent de quelqu'un qu'elle a déjà oublié depuis bien longtemps, mais elle se souvient qu'elle avait promis de le garder précieusement.
• Que faites vous principalement durant votre temps libre ? :
Mabel aime tout ce qui est travaux pratiques pour s'occuper l'esprit mais depuis son arrivée à l'institut, elle n'a plus vraiment l'occasion de faire quoi que ce soit d'artistique, à son grand regret.
• Avez vous des talents artistiques, sportifs ou techniques ? :
On parle d'activité qui suppose l'utilisation de son corps ? Oui tout à fait. Alors la Philippine est plutôt à l'aise avec son corps donc la danse c'est son deuxième monde ou c'était. Elle maitrise donc, néanmoins, beaucoup de style de danse différents. Autre activité sportive qu'elle aimait pratiquer et dans laquelle elle est douée, c'est le basketball malgré son mètre 60.
• Qu'est-ce que vous appréciez particulièrement ? :
La compagnie des autres avant tout, s'occupez des gens, le respect (qui va avec la tolérance), la joie de vivre, le grand air, le soleil, la pluie aussi un peu, manger (oui bon c'est bien à mettre au même niveau que les autres), l'air marin, la fête, danser, chanter des ballades philippines, somnoler la fenêtre ouverte pour entendre les bruits de l'extérieur. Elle aime également toutes les activités en extérieurs, le jardinage en tout genre, elle aime quand les odeurs des fleurs se mélangent. Elle aime l'odeur de l'huile de monoï et de la fleur de jasmin. Elle aime l'odeur d'iode qui reste sur sa peau après s'être baignée. Elle aime quand son thé est très sucré mais en revanche elle boit son café sans sucre. Elle aime le moment où elle éteint la lumière et qu'elle se glisse sous ses draps. Elle adore aussi les telenovelas et les dramas coréens, elle aime aussi les émissions culinaires. Les oréos. La poésie. José Rizal. Son pays.
• Qu'est-ce qui au contraire peut vous rebuter ? :
Le manque de respect sous toutes ses formes, qu'on la prenne pour une idiote en lui parlant comme une enfant, qu'on la prenne pour quelqu'un de faible, qu'on dénigre son pays, qu'on lui demande si elle est hispanique, qu'on lui demande si elle est pro-américaine, qu'on lui parle de Chine comme si c'était un membre de sa famille. Elle ne supporte pas non plus l'arrogance trop excessive, et aura une tendance à ne pas non plus apprécier la vantardise. Elle n'aime pas vraiment les plats fades, la nourriture industrielle sans goût. Elle ne supporte pas la lumière qui filtre à travers les stores quand elle dort tard le matin. Elle n'aime ni le 26 ni le 30 décembre.
Description physique Un 12 juin perdu dans toutes ces années calmes… La musique raisonnait sur la grande place, décorée aux couleurs du pays. Les lanternes bleues, rouges et blanches faisaient refléter leurs lumières dans les yeux ambrés de la Philippine qui observait la foule danser et les derniers rayons du soleil caressait encore sa peau caramel, une peau lisse, qui ne nécessitait pas beaucoup de soin ni de coquetterie particulière . Ses yeux en amande brillaient toujours d'une lueur chaleureuse et accompagnait ses sourires nombreux et son rire communicatif. Elle n'était pas une de ces femmes, qui par leur seule beauté, faisait se retourner le monde, mais elle attira alors l'attention d'un nouveau cavalier qui l'invita à rejoindre la danse. Elle lui donna alors sa main fine se laissant entrainer dans la ronde. Sa chevelure chocolat, épaisse, aux boucles bien définies et généreuses, tressautait au rythme de la musique, retombant élégamment sur son dos, au creux de ses reins. Quelques mèches éparses encadraient son visage rond, aux lignes juvéniles et habillaient son front innocemment. Le côté juvénile de son visage était accentué par ses pommettes hautes et son nez légèrement retroussé, ceux qui la côtoyaient étaient bien incapables de deviner quel âge elle pouvait avoir. Son air farouche mais enjouée et sa voix chaude lui donnaient un peu plus d'année que sa seule silhouette. Ses sourcils plutôt épais mais bien dessinés ne trahissaient aucune gêne ou aucun malaise à ce moment-là. Ses lèvres fines, et naturellement rosées étaient continuellement étirées en un sourire amuse, offert à son cavalier du moment qui la faisait virevolter. Ce soir là, la jeune femme portait une robe d'un rose passé, en mousseline, matière qu'elle affectionnait particulièrement. Le délicat tissu tournoyait autour d'elle et retombait sur sa silhouette en épousant ses formes qu'on devinait rapidement généreuse au niveau de ses hanches et ses cuisses. Pourtant ses jambes étaient musclées, harmonieuses mais puissantes. Les fines bretelles du vêtement laissaient voir ses épaules élégantes et musclées ainsi que son cou élancé et une partie de son dos, marqué par les aléas de l'histoire. Sa silhouette était semblable à un 8 ; ses hanche était marquées, et malgré une poitrine peut développée, elle était quand même très féminine dans sa manière de s'habiller, de se comporter et de se tenir. Si on faisait attention, on pouvait également voir que le long de sa colonne vertébrale, étaient dessinés une succession de tiret et de point très légers, à l'encre blanche, dessin qui en fait continuait jusqu'à ses lombaires. Le soleil se coucha alors entièrement mais la fête était loin d'être finie. On sentait que la jeune Philippine était là dans son élément et d'une apparence banale se dégageait alors une aura particulière pleine de grâce et pétillante sur laquelle on pouvait se retourner et sur cette place, ce soir-là, on ne voyait plus qu'elle danser. | Description Mentale Si on vous demande de dresser le portrait d'une nation dans son ensemble, peu apporte qu'on vous demande son allégorie, sa culture ou autre, il semble plus logique de se concentrer sur les dates marquantes de l'histoire de cette nation, ce qui l'a forgée, et ce que ces dates lui ont apporté dans son caractère, son essence. Pourquoi avec les Philippines ce serait différent ? Alors, il nous faut nous pencher sur la première partie de son histoire. 16 Mars 1521 Toute histoire commence par un "il était une fois", mais celle-ci ne se terminera pas par "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Alors, il était une fois un voyageur européen, qui venait de découvrir ce qui se nommera plus tard : l'archipel des Philippines. Les voiles déchirées des caravelles se déployaient sous les yeux d'une jeune fille posée là sur la rive, de ce pays qui était le sien. Cette jeune fille, à qui on ne saurait donné un âge, avait l'âme d'une enfant. Curieuse, peut-être même d'un tempérament farouche, mais bienveillante, elle n'hésitait pas à se rapprocher de l'inconnu, ne faisant pas seulement confiance à ses yeux pour porter un jugement sur ce qui l'entourait, elle aimait, à l'aide de tous ses sens, appréhender le mystère d'hommes dont elle ne connaissait le visage. Elle aimait à deviner la réalité des cœurs et des pensées de chacun, et elle semblait avoir un certain dont pour savoir si le bien ou le mal habitait l'âme de quelqu'un. Téméraire, et indomptable, son âme d'enfant lui permettait de bénéficier d'une joie de vivre mais également d'une naïveté qui lui apporterait bon nombre de problème. Cette jeune fille se rappellera toujours de ce voyageur et de ses hommes. Elle en est ressortie plus forte, et plus affirmée. L'âme d'une combattante se tenait aux côtés de l'enfant dans son cœur. Pure, franche et toujours fidèle à la cause qui lui semblait juste, elle était difficile à détourner de son chemin une fois lancée, même si, au fond, elle ne choisissait pas la meilleure solution. Et voilà que ce voyageur a apporté ses frères, puis ses femmes et ses enfants qui écrasèrent et mélangèrent les siens. 7 Juillet 1892 La croix sur sa poitrine voulut lui apprendre à pardonner et la miséricorde, mais c'est plutôt l'impétuosité et la susceptibilité qui se sont développés. Une rage profonde s'est emparée de cette jeune fille sans qu'elle ne s'en rende compte, une rancœur envers les espagnoles d'abord, puis tous les autres, qui n'est jamais vraiment partie et l'empêche de réellement se détacher de son passer, d'aller de l'avant et de faire confiance à ceux qui l'entourent, même après des années d'amitié. 1896… Alors que cette année s'annonçait comme la plus sanglante, celle qui marquera à jamais l'esprit de cette jeune fille, la figure de la douce s'est ajoutée à l'enfant et la combattante. Au contact du poète, cette jeune fille a appris à aimer son prochain, ou à aimer tout court. Elle est devenue douce au contact de celui qui ne quittera jamais son esprit et se rajoutera à l'enfant, la combattante et la douce. Son esprit est devenu de nouveau plus libre, plus critique et plus intelligent. Elle a appris à rire aux éclats sans se cacher, à montrer ce qu'elle ressentait sans peur des représailles : elle a appris à être libre. 30 décembre 1896 Le poète est mort. Sans un cri et sans pleure. La perte de l'autre a fait relativiser cette jeune fille qui s'est promis d'être toujours la dernière à sourire et à se battre dans les moments difficiles, à ne jamais se laisser aller au désespoir quand on y croit encore. De croire en ceux qui ne croit plus en eux-mêmes et de croire que tout est toujours améliorable autour de nous : la figue de l'Humaniste s'est alors rajouté au rang. 10 Décembre 1898 Vendue. Cette jeune fille a été simplement vendue comme un vase qui décore une jolie entrée. Cette jeune fille a alors découvert une peur irrationnelle. Celle de l'abandon. Celle d'être ce vase qu'on laisse un jour sur le côté pour ne plus jamais le reprendre, renforçant alors sa difficulté à faire confiance à qui que ce soit, même ceux se présentant comme des héros… 4 juillet 1946 Cette jeune fille est enfin libre de vivre avec tout ce qui l'a constitué et ce qui lui reste à vivre. 2016… L'enfant, la combattante, la douce, le poète, l'humaniste sont cette jeune fille et cette jeune fille est les Philippines. |
• Pseudo : Ela (– Gaga – Mab) • Age : Non, on ne demande toujours pas l'âge d'une lady. • Depuis combien de temps RP vous ? FOR EDGES. Non depuis 2010, juste. • Comment avez vous trouvé ce forum ? : Des gens de la haute sphère. • Code du règlement : Validé par Elo • Des commentaires ? Euh … Patates ? | Et toi ? |
"It is a useless life that is not consecrated to a great ideal. It is like a stone wasted in the field without becoming part of an edifice."
Histoire
DÉNI
Comme à chaque prise de décision, qui devait influencer à jamais l'organisation du pays, tout a commencé par une assemblée. Cette-dernière avait plus des airs de tribunal. Mais la convocation ne lui avait donné aucune suspicion, pas même une once de questionnement. Elle écoutait ce que les députés lui disaient sans y prêter vraiment attention. L'effervescence des nouvelles élections dissimulait encore les nombreux problèmes que le nouveau gouvernement allait devoir affronter. Le mot d'ordre pendant ces dernières mois de campagne avait été "cassons les codes et les carcans d'une tradition qui ne nous plait plus". Mabel n'avait vu que des phrases chocs pour essayer de stimuler l'audimat rien de bien sérieux, surtout sachant qu'on ne pouvait pas changer 40 ans de politiques en un claquement doigt, elle était bien placée pour le savoir.
Pourtant elle aurait du se douter de quelque chose en croisant le regard de l'ex-président, qui semblait dans la confidence du projet à venir et la regarder avec un air de pitié et comme s'il lui demandait de l'excuser pour ce qui allait se passer. Elle l'avait toujours apprécié, il était calme et réfléchi, rien à voir avec celui qui prit la parole pour s'adresser à elle directement. Elle ne supportait pas son ton, et la manière dont il la prenait de haut. Ses tendances misogynes lui hérissaient le poil mais quitte à devoir travailler avec lui autant se montrer plus intelligente et adresser un sourire sarcastique à chacune de ses paroles.
Elle écoute donc.
Elle écoute et elle ne comprend pas ce qu'il est en train de lui lâcher.
Pardon ? Quoi ? Me renvoyer de mes fonctions ? Mais je ne suis pas nation comme on peut être dentiste qu'est-ce que c'est que cette histoire ? C'est une blague monumentale, si bien qu'elle en lâche un petit rire.
"Parce que vous trouvez ça drôle ?"
"Oui permettez moi de douter, Monsieur, de la véracité de vos dires… Enfin quand même, vous ne pouvez pas me renvoyer c'est totalement idiot."
Elle en lâcha un nouveau rire en regardant les autres politiciens présents, qui baissèrent la tête, incapable de soutenir son regard.
"Et pour quelle raison alors ferait-on ça ?"
Trahison ? Outrage à l'ordre établi ? Corruption ? Non mais à ce niveau-là ce n'est même plus une mascarade.
"Si nous devons éradiquer tout ce qui empêche ce pays d'avancer, en plus de tous les criminels et de ces fanatiques corrompus, toi aussi tu dois t'en aller !"
Un échange enflammé d'insultes plus tard, on la força à sortir du bâtiment officiel. Cette blague va beaucoup trop loin
Pourtant elle aurait du se douter de quelque chose en croisant le regard de l'ex-président, qui semblait dans la confidence du projet à venir et la regarder avec un air de pitié et comme s'il lui demandait de l'excuser pour ce qui allait se passer. Elle l'avait toujours apprécié, il était calme et réfléchi, rien à voir avec celui qui prit la parole pour s'adresser à elle directement. Elle ne supportait pas son ton, et la manière dont il la prenait de haut. Ses tendances misogynes lui hérissaient le poil mais quitte à devoir travailler avec lui autant se montrer plus intelligente et adresser un sourire sarcastique à chacune de ses paroles.
Elle écoute donc.
Elle écoute et elle ne comprend pas ce qu'il est en train de lui lâcher.
Pardon ? Quoi ? Me renvoyer de mes fonctions ? Mais je ne suis pas nation comme on peut être dentiste qu'est-ce que c'est que cette histoire ? C'est une blague monumentale, si bien qu'elle en lâche un petit rire.
"Parce que vous trouvez ça drôle ?"
"Oui permettez moi de douter, Monsieur, de la véracité de vos dires… Enfin quand même, vous ne pouvez pas me renvoyer c'est totalement idiot."
Elle en lâcha un nouveau rire en regardant les autres politiciens présents, qui baissèrent la tête, incapable de soutenir son regard.
"Et pour quelle raison alors ferait-on ça ?"
Trahison ? Outrage à l'ordre établi ? Corruption ? Non mais à ce niveau-là ce n'est même plus une mascarade.
"Si nous devons éradiquer tout ce qui empêche ce pays d'avancer, en plus de tous les criminels et de ces fanatiques corrompus, toi aussi tu dois t'en aller !"
Un échange enflammé d'insultes plus tard, on la força à sortir du bâtiment officiel. Cette blague va beaucoup trop loin
COLÈRE
Ca n'allait certainement pas se passer comme ça, il voulait être crédible en renvoyant son propre pays, très bien, il allait être servi.
On ne peut pas déloger une personne, là depuis le commencement, juste par un stupide décret perdu au milieu d'une loi qui se dit révolutionnaire. Quand la seule action faite après un mois de présidence c'est juste d'améliorer l'accès à la 3G des habitants de Manille, on ne s'attaque pas à sa nation et ça Mabel était bien prête à lui faire comprendre.
La réalité l'avait en effet rattrapée en recevant un joli mot accompagné d'un billet d'avion pour les Etats-Unis, les accusations étaient donc concrètes et l'affaire semblait déjà avoir été entendue. Elle pensait vraiment qu'avec l'aide de sympathisants elle arriverait à se maintenir en place, qu'avec la force et la notoriété de certains, ça bougerait les choses et ferait au moins changer d'avis les députés. Pourtant non, c'était même l'inverse. Un soulèvement politique était précisément ce qu'ils attendaient pour bien prouver à la population que le système était défaillant et corrompu. Faisant croire à un coup d'Etat, ce n'était plus seulement des députés fiers d'eux mais la population elle-même qui commençait à rejeter ce qui avant avait fait tenir son pays.
On ne peut pas déloger une personne, là depuis le commencement, juste par un stupide décret perdu au milieu d'une loi qui se dit révolutionnaire. Quand la seule action faite après un mois de présidence c'est juste d'améliorer l'accès à la 3G des habitants de Manille, on ne s'attaque pas à sa nation et ça Mabel était bien prête à lui faire comprendre.
La réalité l'avait en effet rattrapée en recevant un joli mot accompagné d'un billet d'avion pour les Etats-Unis, les accusations étaient donc concrètes et l'affaire semblait déjà avoir été entendue. Elle pensait vraiment qu'avec l'aide de sympathisants elle arriverait à se maintenir en place, qu'avec la force et la notoriété de certains, ça bougerait les choses et ferait au moins changer d'avis les députés. Pourtant non, c'était même l'inverse. Un soulèvement politique était précisément ce qu'ils attendaient pour bien prouver à la population que le système était défaillant et corrompu. Faisant croire à un coup d'Etat, ce n'était plus seulement des députés fiers d'eux mais la population elle-même qui commençait à rejeter ce qui avant avait fait tenir son pays.
MARCHANDAGE
"On peut sûrement trouver un compromis, je ne comptais pas m'interposer dans vos politiques, bien au contraire, ce n'est pas mon rôle…"
"Et si on rediscuter les termes du décret ?"
"Je peux encore apporter mon aide !"
"On se dit ça ? Hein, que je peux m'effacer un temps, et après je serais juste un soutien ?"
"Et si on rediscuter les termes du décret ?"
"Je peux encore apporter mon aide !"
"On se dit ça ? Hein, que je peux m'effacer un temps, et après je serais juste un soutien ?"
DÉPRESSION
L'arrivée à l'institut a été un réel électrochoc, c'était comme être enfermée dans la Boîte de Pandore. Il lui était impossible de s'acclimater, ou même de voir les autres, pendant un temps, elle n'était qu'une ombre, le temps de réaliser complétement que c'était bien un nouvel abandon qu'elle venait d'essuyer, et surement le pire d'entre eux.
"Alors vous voyez, vous pouvez bien me donner tous les médicaments du monde, ça ne changera rien. Essayer dont de me légumifier, vu qu'on en est là."
Petit à petit, même si les séances de discussion étaient encore un supplice, elle pouvait se balader dans les couloirs sans avoir l'envie de disparaître dans les murs, elle pouvait même voir d'autres nations, au moins pour se tenir compagnie et se soutenir un minimum. Mais la comparaison avec certains d'entre eux, la faisait frémir, elle en voyait sombrer beaucoup plus vite que d'aures et se perdre dans des mondes qui lui étaient inaccessibles et c'était hors de question qu'elle devienne comme ça.
"Alors vous voyez, vous pouvez bien me donner tous les médicaments du monde, ça ne changera rien. Essayer dont de me légumifier, vu qu'on en est là."
Petit à petit, même si les séances de discussion étaient encore un supplice, elle pouvait se balader dans les couloirs sans avoir l'envie de disparaître dans les murs, elle pouvait même voir d'autres nations, au moins pour se tenir compagnie et se soutenir un minimum. Mais la comparaison avec certains d'entre eux, la faisait frémir, elle en voyait sombrer beaucoup plus vite que d'aures et se perdre dans des mondes qui lui étaient inaccessibles et c'était hors de question qu'elle devienne comme ça.
ACCEPTATION ?
Quitte à être la seule à se croire nation, tant pis. Si elle n'a plus que ses souvenirs pour se sentir encore à peu près entière, soit, elle s'y accrochera même avec le cerveau liquéfié, parce que si elle ne le fait pas, qui le fera ?
"Filipinos don't realize that victory is the child of struggle, that joy blossoms from suffering, and redemption is a product of sacrifice."
Dernière édition par Philippines / Mabel le Mer 8 Juin - 14:30, édité 6 fois
Philippines / Mabel
Re: "La perle d'Asie du Sud-Est" - Les Philippines : présentation
Hiiiiihhhh j'aime tellement l'artiste de ton avatar ;A; <3
France / Francis
Irlande/Erlina
Re: "La perle d'Asie du Sud-Est" - Les Philippines : présentation
Oh hey hello you ;'DD
Angleterre / Arthur
Pays de Galles / Keyne
Re: "La perle d'Asie du Sud-Est" - Les Philippines : présentation
Ma petite Mab ;A;/
*keurkeur de papa comblé*
*keurkeur de papa comblé*
Espagne / Antonio
Prusse / Gilbert
Re: "La perle d'Asie du Sud-Est" - Les Philippines : présentation
Des coeurs sur vous !
Et c'est fini de mon côté aussi normalement :3
Et c'est fini de mon côté aussi normalement :3
Philippines / Mabel
Re: "La perle d'Asie du Sud-Est" - Les Philippines : présentation
Nous te souhaitons la (re)bienvenue parmi nous !
Ta fiche est validée, tu intégreras le groupe Camélia, et tu iras donc dans l’aile n° 5,chambre n°7.
Ton nombre de crédits s’élève à présent à 10
Ta jauge de conscience est de 84%
Tu disposes donc également de 1 Univers Alternatifs et 8 Périodes Historiques à choisir parmi ceux disponibles.
Tu peux dès à présent errer dans l’institut, commencer à rp et passer en chatbox. Mais tu peux aussi commencer ton Journal de Bord, ainsi que rédiger ta Fiche de Relations.
Bon jeu parmi nous et amuse toi bien à Hetalia : Beyond Insanity.
Staff
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